C'est l'histoire d'un magnifique gallinacé alsacien, notre symbole national, qui vient de gagner son procès contre des voisins qui n'appréciaient guère son chant. En effet ceux-ci ne supportaient plus ses "cocorico"matinaux. Ils ont donc assigné en justice son propriétaire. Le ridicule ne tue plus il faut croire. Comment empêcher un coq, à la campagne, de chanter? L'enfermer voire s'en débarrrasser.... Heureusement tout est bien qui finit bien et Victoire, c'est son nom, a réussi à sauver ses blanches plumes. Cocorico et longue vie à Victoire. En voilà un qui ne finira pas en coq au vin mais vivra comme un coq en pâte.
lundi 2 juillet 2007
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