"...... Pendant toute leur descente sous spi jusqu’à Ouessant, les solitaires ont été escortés par une multitudes de dauphins très joueurs. « Ils étaient peut-être charmés par le grincement de la poulie de mon bras de spi. C’est assez rare, en général, ils ne restent jouer que quelques minutes » raconte Etienne Svilarich. Même écho chez Marc Thiercelin (Siemens), qui n’avait jamais vu autant de dauphins rester aussi longtemps au contact des bateaux. Gildas Morvan, après s’être extasié sur la beauté des côtes irlandaises, jugeait ces mammifères marins certes charmants mais un peu trop envahissants : « A la longue, ils sont pénibles ! Ils n’arrêtent pas de jouer avec les safrans, ils te surprennent de tous les côtés, j’ai bien cru que l’un d’entre eux finirait sur le pont ». "Source le Figaro
jeudi 9 août 2007
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